Cali refuse toute mélancolique avec « Je ne peux pas pleurer plus que ça », son nouveau single

Cali dévoile le clip de son nouveau single « Je ne peux pas pleurer plus que ça », troisième extrait de l’album Les choses défendues sorti l’an dernier. Ça se passe sur aficia !

Mélancolique, Cali l’est assurément. Mais il le refuse aussi. C’est le sentiment qui domine dans son nouveau single « Je ne peux pas pleurer plus que ça » qui évoque, entre les lignes, la perte de l’innocence liée à la fin de l’adolescence et aux responsabilités qui incombent aux adultes, à la fin d’un amour ou même à la perte d’une être cher. L’artiste distille ainsi plusieurs messages qui forcément touchent chacun d’entre nous, ayant tous un jour ou l’autre vécu les situations et été affectés par les sentiments qu’il peint sur un rythme relativement enlevé et une mélodie de Alain Verderosa (Raphael, Alain Chamfort…) et Philippe Éstressangle (Etienne Daho, Miossec, Jeanne Cherhal…).

En tournée jusqu’en février 2018

On retrouve un autre nom connu à la production : Édith Fambuena, laquelle avait déjà collaboré avec la plupart de ces artistes-là, mais aussi Julien Doré, Olivia Ruiz et Zazie pour ne citer qu’eux. Par ailleurs, celle-ci a récemment dirigé l’enregistrement de l’album hommage à Barbara, Elles & Barbara, sorti en juin.

Une vidéo illustre le nouveau single « Je ne peux pas pleurer plus que ça » de Cali. Elle a été réalisée à partir d’images captées durant une tournée lancée plus tôt cette année et qui occupera le chanteur jusqu’en février 2018. C’est Yann Orhan qui a bossé dessus, photographe des stars comme Renaud, Bruce Springsteen, Zaz ou encore Michel Polnareff et Matthieu Chedid.

Découvrez le clip « Je ne peux pas pleurer plus que ça » de Cali :

« Je ne peux pas pleurer plus que ça » est le troisième extrait du dernier album Les choses défendues de Cali (2016), après « I Want You » et « Sweetie », évoquant le drame des migrants. Toujours aussi romantique et engagé dans ce septième opus, le chanteur dresse un constat assez pessimiste de notre monde, notamment à travers le titre « Elle a mal » qui évoque le triste sort de femmes battues, ou encore « À cet instant je pense à toi », l’attentat du 13 novembre 2015.