Dirty Diary se lance enfin avec « Je ne veux pas voir Paris brûler » !

Il y aura fallût attendre près de quatre ans pour voir enfin aboutir le projet « Dirty Diary » emmené par Jena Lee. Celle qui cartonnait dans les années 2000 avec son album « Vous remercier » présente ainsi le premier extrait de son projet musical. On s’écoute « je ne veux pas voir Paris brûler » !

Dirty Diary via Facebook OfficielDepuis plusieurs années en pourparlers, le projet Dirty Diary voit enfin le jour aujourd’hui avec un premier single appelé « Je ne veux pas voir Paris brûler ». Mais rien ne se serait fin sans l’aide de Jena Lee. Souvenez-vous, cette jeune artiste est auteur-compositrice et interprète française qui a beaucoup plu en 2009 avec son premier album « Vous remercier », laissant naître le tube « J’aimerai tellement ». Un style Emo Rnb qui l’a emmené très haut dans les charts, mais qui ne s’est pas renouvelé en 2011 avec la sortie d’un troisième album. En effet, la chanteuse a décliné l’offre d’Universal, voulant se diriger vers une autre direction. Mais si elle s’est faite discrète ses quatre dernières années, l’artiste a tout de même bosser, pour elle, mais aussi pour d’autres comme Djany ou Adict.

[Tweet « .@Dirty_Diary ou quand @jenaleeofficiel & @giamartinelli ne veulent pas voir #Paris brûler ! »]

Après avoir écrit pour Sheryfa Luna et pour la comédie musicale Cléopâtre, c’est bel et bien sur son nouveau projet musical Dirty Diary que nous retrouverons aux accréditations Jena Lee, mais pas seulement. Cette dernière a souhaité travailler avec sa meilleure amie, mais aussi artiste, Gia Martinelli. Journaliste et animatrice radio, elle a rencontré Jena Lee dans le cadre de son travail. Rapidement liée d’amitié, les deux chanteuses se sont trouvées musicalement parlant, voulant offrir un album commun, dirigé vers un style où les sons urbains se mélangent aux musiques plus rock. Première journaliste française a avoir interviewé Justin Bieber, Gia Martinelli apporte sa pâte et son expérience à son projet atypique. Inspiré par les supers héros des comics américains, d’univers tels que celui d’Alice aux Pays des Merveilles ou encore des séries US, cet album se veut explosif, éclectique et torridement pop.

C’est très enthousiastes que, pour en démarrer l’exploitation, les filles choisissent d’envoyer aux radios le single « Je ne veux pas voir Paris brûler », un morceau qui s’inscrit à 100% dans le style définit juste avant. Dynamique à souhait, ce premier extrait laisse présager un très bel avenir pour Dirty Diary que l’on va évidemment suivre de très près…