High Hazels, un premier album le 27 octobre

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Ils sont quatre à composé High Hazels : James Leesley (chant et guitare), Scott Howes (guitare), Paul Barlow (basse), et Anthony Barlow (batterie). Venus de Sheffield, une ville du nord de l’Angleterre, avec dans les bagages une musique absolument délicieuse, un peu comme une glace à la fraise que l’on déguste un dimanche sous un soleil trop présent. #Aficia vous embarque dans ce premier opus rempli de belles promesses.

Pas de souci à se faire pour le premier album du groupe qui sera dans les bacs 27 octobre sous le label Heist or Hit Records, son nom est aussi simple que celui du groupe : High Hazels ! Un album éponyme donc pour les 4 musiciens issu de l’ancienne capitale mondiale de l’acier. Reste à savoir comment l’album sera nous surprendre, comment cette bande de garçons originaire d’Handsworth, une banlieue de Sheffield, et au look indéfinissable sera nous rendre amoureux musicalement…

Peut-être que des atouts majeurs comme Cottage Road Studios, lieu de l’enregistrement de l’album, un nom comme Matt Peel (Pulled Apart By Horses, Eagulls) pour la production et Robin Schmidt (The Coral, Jake Bugg) pour le mastering suffit à convaincre. Mais il nous en faut plus, alors ajoutons à cette recette le talent de James Leesley, Scott Howes, Paul Barlow, et Anthony Barlow et nous voilà avec un album qui respire la jeunesse totalement exubérante, qui fourmille du charme et de la joie So British d’High Hazels.

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10 titres pour construire High Hazels, c’est parfois trop court… L’album s’ouvre sur Valencia qui donne le pas sur son rythme engageant, nous invitant à une ballade dans cette ville espagnole. Mais que vos oreilles ne s’habituent pas trop vite, car High Hazels vous réserve de bien belles choses : Mishbehave qui semble vouloir être un pur rhythm and blues ayant fusionné avec un son rock bien d’aujourd’hui. Avec ses lignes retorses de steel guitar sur Hanging Moon, Scott Howes parvient à toucher l’âme, et quand Leesley gémit : « it’s coming to the end of the reel, I still don’t know how I feel » voilà un aveu déchirant qui pourrait faire fondre un cœur de pierre. Le psychédélique The Promenade, avec ses réminiscences des sons synthétiques des années 80, clôt cet album qui devrait prouver à tous que High Hazels n’est pas seulement un groupe plein de promesses, mais qu’il sait aussi les tenir sur la durée d’un album.

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https://rd.io/e/Qj4DhvY/

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Preuve, s’il en faut, du talent d’High Hazels : un premier EP In The Half Light sorti en avril dernier qui avait su toucher le public et la critique et le succès du premier single Hearts Are Breaking en 2013.

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