Et si les américains et les anglais votaient pour… Alice Cooper ?

Projet ambitieux ou vaste plaisanterie, on vous en dit plus, avec aficia, sur l’opération lancée par Alice Cooper.

C’est officiel, le célèbre hard rockeur, Alice Cooper, s’est lancé dans la campagne pour l’élection du prochain président des États-Unis et vise dans le même temps le poste de premier ministre en Angleterre. À l’heure où le choix des électeurs s’avère délicat entre Hilary Clinton et Donald Trump, une troisième voix s’ouvre donc pour tous les indécis ou les déçus de la politique, et Alice Cooper les invite à le rejoindre dans son mouvement, le Wild Party.

Pour l’occasion il lance même un site dédié à l’opération, aliceforprimeminister.com, dans lequel il expose son programme et annonce sa campagne avec une réédition de son titre « Elected » paru en 1972.

Un programme ambitieux qui se décline en dix propositions très sérieuses, pour le plus grand bonheur de tous et qui soulageront le quotidien de chacun :

  • Réintégrer Brian Johnson dans le groupe AC/DC
  • Mettre un serpent dans chaque pot
  • Abolir les crayons et les livres
  • Ajouter Lemmy, leader récemment disparu du groupe Motörhead, au Mont Rushmore
  • Renommer Big Ben en « Big Lemmy »
  • Mettre la tête de Groucho Marx sur les billets de 50$
  • Et la tête de Peter Sellers sur les billets de 20£
  • Les porte-gobelets seront obligatoires sur chaque siège d’avion
  • Interdire les discussions au cinéma ou au théâtre
  • Interdire les selfies sauf pour un jour désigné comme la « Journée Nationale des Selfies »

Un programme qui en vaut largement un autre et qui au moins s’avère largement réalisable. Tout comme Coluche, chez nous, qui s’était présenté à l’élection présidentielle en 1981, et dont la candidature avait enthousiasmé les français et fait trembler les politiques, il faut bien avouer qu’Alice Cooper à la tête des États-Unis ou du gouvernement anglais, ça aurait vraiment de la gueule.

Découvrez la nouvelle version de « Elected » d’Alice Cooper :