Pascal Obispo continue d’annoncer son nouvel album en misant sur l’entraînant « Rien ne dure ». C’est en écoute sur aficia.
Rendez-vous dans les bacs le 12 octobre pour découvrir le nouveau cru de Pascal Obispo. Simplement baptisé Obsipo, cet album désormais disponible à la précommande offre à l’auditeur 18 pistes et de nombreuses collaborations.
En effet, Pascal Obispo invite sur ce disque Calogero sur « A Forthlin Road », Isabelle Adjani et Youssou NDour sur « D’accord », Philippe Pascal sur « Je rentre », Christophe sur « Poète maudit » et Benjamin Biolay sur « Toxicomanes ».
Déjà mis en avant par le titre « Chante la rue chante » et son clip, véritable hymne au vivre ensemble nous invitant à ne jamais renoncer, ce nouveau cru se dévoile un peu plus avec un nouvel extrait entraînant.
Pascal Obispo et James Dean…
Réalisé en partir par Benjamin Biolay et Pierre Jaconelli, Obispo est désormais mis en relief par « Rien ne dure », une piste entraînante aux accents rock écrite par Pascal Obispo. Parfaitement radiophonique, la piste offre un focus sur la vie, de la naissance aux premiers boutons d’acné en passant par les premiers baisers.
L’histoire d’une vie, de nos vies… Mais un constat laisse place aux chemins de nos vies, celui que rien ne dure. Pascal Obispo nous chante que ‘tout se meurt avant la vie d’après’ nous mettant en mémoire que l’on reste de ‘simples mortels’. Un triste constat, mais un message simple, celui de profiter de chaque instant avant que ‘la Porche de James Dean s’envole en fumée’…
Découvrez « Rien ne dure », le nouveau single de Pascal Obispo :
Découvrez la tracklist de Obispo, nouvel album de Pascal Obispo :
Et bleu…- Rien ne dure
- A Forthlin Road ft. Calogero
- Chante la rue chante
- Les chansons de Voulzy et Souchon
- On n’a rien fait de mieux
- D’accord ft. Isabelle Adjani et Youssou Ndour
- Je rentre ft. Philippe Pascal
- Allons en fan
- Poète maudit ft. Christophe
- Universelle solitude
- Amy
- Toxicomanes ft. Benjamin Biolay
- On n’est pas seul sur la Terre
- Vincent pleure
- La société de consommation
- L’éclaircie
- Saudade
