Depuis quelques semaines Ryn Weaver, jeune américaine de 21 ans, agite la toile. Nouveau phénomène musicale, notamment aux US, #Aficia se penche sur ce talent nouveau né en Californie à Encinitas, grandi en Oregon pour finir à New York…
L’histoire remonte à deux mois : Ryn poste un premier morceau sur SoundCloud. Il s’agit du titre « OctaHate » qui en deux semaines explose les scores avec plus d’un millions d’écoute et atteint la première place de la Hype Machine et du Billboard Heatseeker. Un bombe musicale vient de naitre : Ryn Weaver produite par Benny Blanco (Katy Perry, Maroon 5, Wiz Khalifa), Cashmere Cat , Michael Angelakos (Passion Pit) et Charli XCX.
Et c’est au final bien normal que le succès sois au rendez-vous pour Ryn Weaver… Son premier EP « Promises » surfe entre le rêve et la réalité, l’innocence et l’excitation. Un monde pop qui semble avoir subi une transformation en laboratoire musical afin d’obtenir un savant mélange de gros beats actuels comme Joni Mitchell ou Kate Bush.
4 titres pour un EP qui laisse finalement sur notre faim. Ryn y parle de cycles lunaires, signes astrologiques, l’effet de la consommation de soja sur les seins des végétariennes, les différence d’érotisme dans l’art de Gustav Klimt et de son protégé Egon Schiele, Kate Bush et son album The Dreaming, l’amour, le symbolisme des fruits à noyau dans une chanson de Joanna Newsom, design et mode, la mort, le pouvoir empathique des rats domestiques, la politique des genres, l’aine de David Bowie dans Labyrinth et l’allure menaçante de la mer dans Moby Dick.
Un étrange programme donc qui compose « Promises », prémisse sans nul doute d’un futur album. A noter que « Promises » est disponible sur iTunes et toutes les plateformes de streaming, que vous pouvez retrouver l’actualité de Ryn sur son compte Facebook et son Twitter.