Nous avons écouté « Drones » de Muse…

Il était très attendu, il est enfin dans les bacs… « Drones » signe le retour de Muse et nous ne pouvions pas faire autrement que de le faire passer chroniquer cet album sur aficia…

Vous avez voulu des sonorités organiques, de la saturation ? Bienvenu dans l’univers percutant du septième album de Muse… « Drones » est efficace, bouillant, dans la digne ligné de « Black Holes And Revelations ».

12 titres, une production signée par Robert Mutt Lange et déjà des bombes éparpillés sur toute la planète avec les titre « Psycho », « Dead Inside », « Mercy », « Reapers », « The Handler » et « Defector »… L’opus annonce très vite le rythme, dès l’ouverture avec « Dead Inside » qui marque le pas avec une batterie militaire et la guitare de Bellamy qui apporte le sel indispensable au titre.

Et vous n’allez pas être déçut par signe qui s’organise dans l’opus : c’est gonflé à bloc, bourré d’énergie, de trouvailles en pagailles ! Le plus que puissant « Psycho » qui avait permis la découverte de l’album en reste une preuve incontestable. A croire que Matthew Bellamy, Dominic Howard, Chris Wolstenholme et Robert Mutt Lange on prit un malin plaisir à se faire des injections en intra-veineuse de testostérone de taureau durant l’enregistrement de « Drones ».

Muse plus électrique que jamais !

Et tout s’enchaîne à une vitesse folle, « Reapers » avec un refrain d’une efficacité parfaite, « Defector » qui signe sa puissance avec les chœurs et un long solo juste diabolique…

« Drones » est un laboratoire d’expérimentation musicale qui signe une fois encore le génie sans faille de Matthew Bellamy et ses acolytes. Très rock, très électrique, parfois lyrique, frôlant l’overdose de son saturés à l’extrême. Un septième album qui semble ne pas vouloir vous laisser le temps de respirer et la touche de Robert Mutt Lange se fait ressentir dans cette énergie apocalyptique.

« Drones » en serait presque religieux, devenant la nouvelle bible des fans du groupe… Et justement, quoi de mieux pour clore le chapitre de cette nouvelle aventure la chanson-titre qui n’est qu’un simple canon a cappella : religieux nous disions !

Alors même si « Drones » n’offre pas de surprise dans sa genèse globale et les thèmes abordés durant les 52 minutes de vitalité brute offertes, il n’en reste pas moins l’un des meilleurs album du groupe, nous démontrant une fois encore que Muse peut encore et toujours nous surprendre.

Découvrez l’album « Drones » de Muse :

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