« The King’s Son », la richesse des sentiments…

Venu tout droit de la sublime île d’Antigua, située dans les caraïbes, le groupe The King’s Son débarque avec du soleil plein la voix et la certitude des valeurs qu’il veut véhiculer. Coup de chaud donc dans le laboratoire du CrashTest Auditif d’aficia qui décrypte pour vous ce « The King’s Son ».


The King's SonMarcy, Ty, Souljah Man et Jay-Seb sont les quatre personnes qui composent le groupe The King’s Son et se sont rencontrés, comme une marque du destin, au hasard de leur pérégrinations musicales sur cette île magnifique qu’est Antigua. Ty et Souljah Man se connaissent depuis douze ans et découvrent Marcy lors d’une session studio, où sa voix et son sens de l’écriture les séduit. Ils recrutent plus tard Jay-Seb qui assurait les percussions et les chœurs pour Ty lors d’une jam-session. Réunis par leur racines caribéennes, leur amour du reggae et leurs valeurs communes de simplicité et d’authenticité, le groupe The King’s Son entre en studio pour l’écriture de ce premier album éponyme.

L’album « The King’s Son

L’album « The King’s Son » est à l’image du groupe et de leur île Antigua, dont ils sont fiers de porter haut les couleurs, on est riche de ce que l’on est et non de ce que l’on possède. Illustré par le premier extrait de l’album : « I’m Not Rich » ou le chanteur Jay-Seb en association avec le rappeur urbain Blacko prône les valeurs de la simplicité et de l’humanité, assénant une vérité, malheureusement de plus en plus oubliée, que la richesse du cœur et bien plus importante que celle du portefeuille.

Ce premier titre sera le leitmotiv de cet album enregistré entre Antigua et Paris dont la réalisation est confié au duo Torsten Stenzel (Moby, The Shady Brothers) et Matthieu Mendès (M PokoraKendji Girac). Chacun y apporte sa personnalité son caractère, ses influences, ses mots, sa voix pour faire de l’ensemble une belle harmonie dans le respect des valeurs humaines que le groupe The King’s Son veut véhiculer. Mais la valeur la plus importante est bien sûr l’amour comme le montre le titre « Love Is In The Air » en collaboration avec le rappeur Youssouffa.

Morceaux originaux et covers

Aux dix titres originaux, le groupe The King’s Son y ajoute trois covers issues d’artistes qui prêchent les mêmes valeurs comme « People Everyday » du groupe de rap américain Arrested Development qui milite pour un retour à la nature et la simplicité, « Dreadlock Holiday » du groupe anglais 10CC sur le respect ou encore « One Of Us » de la chanteuse américaine Joan Osborne sur la foi en Dieu.

Pour le reste « The King’s Son » apporte sa musicalité sur fond de reggae, de pop et de ragga de très bonne facture comme sur les titres « One Life » ou « King Of The World » et l’imprègne de ses propres thèmes comme « Be The Change » où ils rappellent que si l’on veut changer le monde, il faut déjà être capable de se changer soi-même. Alors si la morosité vous gagne, prenez une bonne gorgée de ce « The King’s Son » qui vous animera le corps, vous réchauffera le cœur et vous éclairera l’esprit.

On vous laisse découvrir l’album éponyme « The King’s Son » :