Sum 41 a toujours la rage au ventre avec « Fake My Own Death »

Sum 41, qui fut un des illustres représentants de la vague punk-rock des années 2000, fait un retour en force avec « Fake My Own Death ». A découvrir avec aficia.

Après les retours de Good Charlotte et Blink-182, c’est au tour d’un autre représentant de la scène punk-rock de faire son comeback : Sum 41. Le groupe canadien tire tout simplement son nom de la date de sa formation le 31 juillet 1996, c’est-à-dire le 41ème jour de l’été. Révélé par un premier album Half Hour of Power en 2000, Sum 41 voit peu à peu sa notoriété grandir, notamment au Canada et aux États-Unis. Une notoriété bientôt confirmée par la sortie de All Killer No Filler porté par des titres tels que « Fat Lip » et « In Too Deep ». Un album qui se vendra au final à 15 millions d’exemplaires dans le monde.

Sum 41 s’impose alors comme un des nouveaux membres éminents de la scène punk-rock qui déferle sur le monde dans les années 2000, au même titre que Good Charlotte, NOFX, Blink-182, Green Day ou The Offspring. Des groupes que la mouvance punk rejettera plus tard, les accusant de trahir le mouvement en signant avec des labels trop commerciaux.

« Fake My Own Death » flingue a tout va

Comme Good Charlotte ou Blink-182, Sum 41 compte bien affirmer son retour et le prouve avec ce nouveau single « Fake My Own Death », préambule à leur septième album studio, 13 Voices, qui devrait voir le jour au mois d’octobre. Si leurs homologues pouvaient apparaître un peu assagis, avec ce nouveau titre, Sum 41 nous prouve qu’il n’a rien perdu de son énergie et de sa rage, aussi bien musicalement que vocalement.

Dans le clip qui accompagne « Fake My Own Death », Sum 41 dénonce une nouvelle fois la société de consommation, passant à la moulinette tout ce qui a pu faire le buzz ces dernières années. Il vous faudra donc être très attentif lors du visionnage de ce clip pour bien voir tout ce que Sum 41 s’amuse à flinguer. Tout y passe, rien ne les arrête, et si les membres du groupe sont toujours aussi énervés, que c’est bon de les retrouver…

Découvrez « Fake My Own Death » de Sum 41 :