Clip « Still in Love » : Martin Stahl, la nouvelle sensation franco-suédoise, court après l’amour

Une belle gueule, un univers qui ne vous laissera pas de marbre, Martin Stahl tente sa chance avec « Still In Love ». Un titre à découvrir avec aficia. 

Martin Stahl, c’est un artiste de 27 ans qui est né à Stockohlm mais qui vit en France depuis son plus jeune âge. Une double culture qu’il alimente par la musique. Il tombe très vite amoureux du piano à l’âge de huit ans et un peu plus tard de la guitare, qui devient son instrument de prédilection. Martin Stahl, c’est aussi le petit frère de Frederika Stahl, une chanteuse célèbre en Suède. Il se met alors à écrire ses propres chansons avec son style romantico-sentimental à la sensibilité à fleur de peau et d’un zeste de mélancolie. Il y aura fallu attendre 2014 pour que le chanteur lance sa carrière en France.

Mais Martin Stahl c’est surtout ce jeune artiste rock-indie que nous découvrions pour la toute première fois en première partie de Christophe Willem sur sa tournée « Paraît-il » (2015). On s’en souvient comme si c’était hier pusiqu’il nous avait envoûté avec sa voix chaude et ses mélodies pop-folk anglophones qu’il venait défendre sur scène, extraites de son premier EP Rise Up. Pourtant, derrière ce qu’il laisse transparaître, se cache un homme plus sombre : « On est tous hyper dark, limite famille Addams. Assez bipolaires aussi. On rit, la minute d’après, on pleure. Dans mes textes, je peux être très noir, c’est ma manière à moi de canaliser mon angoisse », déclare t-il à son sujet.

Aujourd’hui, le chanteur inspiré par les univers de Matt Corby ou Damien Rice revient avec un nouveau single baptisé « Still In Love ». Visiblement ‘Toujours amoureux’, Martin Stahl propose une douceur agrémentée de sonorités deep-house, comme c’était déjà le cas sur « Down Below » en collaboration avec Trackhead. Une pastille musicale fraîchement pourvu d’un clip où l’artiste court inexorablement après le temps et surtout après l’amour.

Découvrez le clip de « Still In Love » de Martin Stahl :