Lucss : interview, playlist et même plus !

A bientôt 22 ans, Lucss vit son rêve et construit peu à peu son chemin, ses projets, et il revient avec aficia sur sa vie, son parcours, ses rêves, avec sincérité, humour et humilité après la sortie de son dernier single  « Je suis là ».

Lucas Villot, alias Lucss, auteur-compositeur-interprète de 21 ans, nous vient de son Périgord natal, sa « campagne » comme il le dit lui-même, et réalise enfin son plus grand rêve, faire de la musique. Depuis toujours Lucss croit en ce rêve et se donne à force de courage et de volonté la force de le réaliser. Artisan de sa propre réussite il avance, ose, chute pour encore mieux se relever et surtout croire en lui et en sa détermination à parvenir à ce but, et voit ses efforts récompensés avec la production d’un premier EP « Écris ton histoire » puis de deux singles « Le but du jeu » et « Je suis là » avec toujours le message qu’il faut croire en ses rêves et se donner les moyens de les réaliser.

Désireux d’en connaître un peu plus sur ce jeune artiste, aficia avait l’occasion, au travers de sa rencontre avec Lucss, de découvrir un jeune homme sincère, plein de lucidité et d’humilité avec toute la force et la volonté que possèdent ceux qui ont la conviction d’avoir trouvé leur voie.

Lucss, l’interview…

Bonjour Lucas, comment allez-vous ?

Bonjour, ça va plutôt pas mal à vrai dire ! En ce moment c’est musique, musique et encore musique et pas mal de sport aussi donc tout va bien, tout va pour le mieux !

On connait Lucss, mais encore peu Lucas, pouvez-vous nous parler un peu de vous ?

Je m’appelle Lucas, je vais avoir 22 ans le 4 décembre. J’ai arrêté mes études en janvier dernier,j’étais en Master 1 Finance Internationale. Depuis j’ai travaillé 5 mois dans une banque et je me suis donné à corps perdu dans ma musique. Je suis quelqu’un de très sensible, très émotif. Je suis quelqu’un d’extrêmement combatif et j’ai horreur de me laisser abattre. J’aime pas perdre et j’aime pas qu’on me dise « Tu n’en es pas capable, tu n’y arriveras jamais ».
À côté de ça, j’adore faire le con, rire, m’amuser, sortir, faire rire les gens ! Petit, je voulais devenir humoriste ! Je me définirais comme un « bon vivant » dans mon Périgord natal, j’aime les bonnes choses de la vie, je suis quelqu’un de très simple, cool et je suis très famille.

Que représente pour vous la musique, quels sont vos goûts, vos influences et comment l’abordez-vous ?

« Ma rencontre avec Romain Ughetto a changé beaucoup de chose pour moi… »

La musique, c’est même pas une passion ni une lubie, c’est bien plus que ça. J’en ai besoin pour vivre,c’est ma façon à moi de respirer c’est aussi simple que ça. Je suis un grand fan de Calogero, j’adore ses mélodies, ses compositions, son travail tout simplement. Il fait des disques magnifiques. Je suis très français en ce qui concerne la magie des textes. Je pense que la langue française, la langue de Molière est une des plus belles au monde. J’adore Cabrel, Renaud, Piaf et plus récemment Vianney. En ce qui concerne la musique, je suis très pop anglaise à la manière de Sia, Ed Sheeran etc… J’aime le « gros son » comme on dit dans le jargon (rire) !

Un projet réalisé grâce à un site participatif et un autre avec le producteur Dominique de Witte, deux aventures différentes donc, comment les avez-vous vécues ?

Je voulais faire un single, je voulais faire un clip et je n’avais pas le moindre centime. J’ai donc pense au financement participatif et je dois dire que l’élan des gens m’a fortement touché. On a réussi à récolter 2 300 euros et grâce à ces fonds j’ai pu enregistrer mon premier single intitulé « Le But Du Jeu » et mon premier clip qui me tenait fortement à cœur. J’ai travaillé avec Dominique de Witte pour produire ce titre et Sébastien Ravizé pour réaliser le clip, une équipe formidable, une aventure extraordinaire, c’était juste incroyable !

Votre dernier titre « Je suis là » a été co-écrit avec Romain Ughetto, pouvez-vous nous parler des circonstances de votre rencontre et de l’écriture de ce titre ?

En fait, tout a commencé quand j’ai envoyé un message privé à Romain sur son compte Facebook Officiel. Je ne pensais pas qu’il allait me répondre, j’y croyais pas du tout. Je venais d’envoyer au moins 200 mails sans aucun retour, aucun ! Il m’a répondu en me disant qu’il allait en parler à sa production et qu’il reviendrait vers moi par la suite. Tout s’est accéléré et le 16 mai 2015 il me laissait la chance de faire sa première partie à Bordeaux lors de sa dernière tournée. Cette rencontre a changé beaucoup de choses pour moi. Le feeling est tout de suite bien passé et il a décidé de m’aider dans la construction de mon projet. On a co-écrit et co-composé mon second single « Je suis là » ensemble et il est clairement devenu un très bon ami et ma rencontre de 2015.

Vous avez été intégré au sein de la Coming Soon Agency, qu’est-ce-que cela vous apporte au niveau personnel et professionnel ?

Rien que l’entendre dire je trouve que ça le fait grave (rire) ! Honnêtement, toute l’équipe de Coming Soon Agency m’a énormément apporté ! Je suis un amateur moi, je viens de ma campagne, j’y
connais rien (rire) ! On m’a appris à poster de manière efficace sur les réseaux sociaux, à être à l’aise sur scène lors des concerts, à avoir des concerts justement, à faire des interviews, à travailler sur ma timidité aussi et surtout à cadrer mon projet et j’insiste bien sur le mot cadrer. Cette équipe a bouleversé mon projet dans le bon sens du terme évidemment ! Grâce à elle, je commence je pense et, je dis ça sans aucune prétention, à me « professionnaliser » car on a construit un socle solide autour de mon projet, de vraies fondations sur lesquelles on peut construire un avenir de manière sereine. C’était ce qui me manquait cruellement ! Je recommande cette équipe, celle de Coming Soon Agency, je ne les remercierai jamais assez pour tout ce qu’ils ont fait pour moi, ils sont top !

Justement lorsque l’on sait à quel point l’industrie est un univers où il est difficile de percer pour de jeunes artistes comme vous, ou même d’autres, quel regard portez-vous dans ce domaine ?

Je ne porte aucun regard particulier sur l’industrie du disque. Sincèrement, je sais qu’il est extrêmement difficile de percer dans ce milieu-là, je le sais. Je sais aussi qu’il est difficile de trouver du travail. Je sais qu’il est aussi difficile de trouver l’amour et je sais aussi qu’il est difficile d’être heureux dans sa vie tout simplement. Rien n’est donné, tout se mérite. Le monde, la vie fonctionne ainsi, comme dirait Arnold Schwarzenegger « no pain no gain ». Je pense que quand on veut réussir, quand on veut réaliser ses rêves, on oublie la conjoncture et la réalité du milieu. On arrête de se trouver des excuses, on retrousse ses manches, on se lève tôt, très tôt et on avance. Rien n’est impossible à qui a envie. Quand on veut, on peut.

Beaucoup d’artistes produits aujourd’hui viennent de télé crochets et autres émissions de télé réalité, n’avez-vous jamais été tenté ?

« La Musique est plus qu’une passion pour moi ! »

Si j’ai déjà tenté et je me suis fait royalement jeté (rire) ! J’ai fait une croix sur ce genre d’émissions pour plusieurs raisons. Tout d’abord je pense que la musique n’est pas un concours. La musique c’est avant tout un partage, des rencontres, une fête. Ensuite, je pense qu’il faut qu’on arrête de croire que désormais la voie royale pour réussir à percer dans le milieu musical est forcément les émissions de télé crochets ! Je tiens à préciser que peu de gens qui sortent de ce genre d’émissions arrivent à percer réellement, ces émissions n’assurent rien du tout. Elles apportent inévitablement une visibilité incroyable que je n’aurais certainement jamais, c’est évident. Je suis très certainement naïf de croire et de penser ça mais je pense qu’on peut réussir sans ce genre d’émissions et j’ai des tas d’exemple. Il faut donner de l’espoir aux jeunes qui veulent percer dans le secteur musical, il faut leur dire qu’il faut y croire, il faut leur dire que c’est très dur mais que rien n’est impossible ! Vous voulez faire de la musique mais vous n’avez rien ? Pas d’argent ? Pas de contacts ? Vous ne savez pas jouer d’un instrument ? Vous ne savez pas comment vous y prendre ? Pas de problème ! Prenez des cours de guitare, de piano, de chant, prenez-vous en vidéo et mettez-la sur YouTube, Dailymotion ! Écrivez, composez dans votre coin ! Cherchez des contacts sur internet ! Contactez des bars pour pouvoir jouer ! Si la musique c’est VOTRE truc, alors émissions de télé crochets ou pas, n’abandonnez jamais, bougez-vous et surtout surtout n’arrêtez jamais de croire en vous !

Ne trouvez-vous pas que cette manière de percer est en frein de plus pour ceux qui veulent y arriver par eux-mêmes, sans passer par ces « autoroutes » ?

Non je ne pense pas. Je pense vraiment que tout est possible si on s’en donne vraiment les moyens. Ça peut prendre des années, énormément de travail, de remises en questions, de périodes de doutes mais peu importe, l’important c’est d’essayer et n’avoir aucun regret ! De nos jours tout le monde peut faire de la musique, tout le monde, et la partager de manière efficace avec les réseaux sociaux et internet. Elle est beaucoup plus accessible. Et puis au fond, l’important c’est de faire de la musique, peu importe si la visibilité est importante ou pas. Je ne me pose pas la question de « est-ce que je vais percer ou pas ? ». Je fais juste ce que j’aime et j’essaie de le faire le mieux possible et comme on dit à mon âge de « kiffer » tout simplement. Je pense que c’est le plus important, kiffer, kiffer et encore kiffer et peu importe si tu perces ou pas. Vis ta vie et kiffe !

D’ailleurs votre dernier titre « Je suis là » est porteur de ce message où il faut croire en ses rêves, que diriez-vous à ceux qui vous écoute et qu’en est-il pour vous ?

 » Je suis là » c’est mon histoire. C’est l’histoire de ma vie au quotidien, un combat acharné pour prouver et faire comprendre aux gens ainsi qu’à mon entourage que la musique est plus qu’une passion pour moi. J’ai pas forcément le soutien que j’aimerais avoir de la part de mes proches. Au fond je peux comprendre aussi car ils veulent une situation stable et un avenir serein pour moi, ils veulent le meilleur pour leur fils.  » Je suis là  » c’est aussi un message d’espoir. Je veux dire aux gens que peu importe si tout va mal, peu importe si on a plus de travail, si on vient de se faire quitter, si on a plus rien à quoi se raccrocher car tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir. N’abandonnez jamais, il y a toujours de la lumière au bout du tunnel.

Qui dit nouveau titre dit aussi un clip pour l’accompagner, pouvez-vous nous parler de sa réalisation ?

Ce clip c’était une dinguerie (rire) ! On s’est énormément amusé, on a beaucoup rigolé, c’était vraiment génial ! J’ai eu la chance de travailler avec le réalisateur Jeff Loch qui a notamment travailler pour Romain Ughetto, Vitaa ou encore Maître Gims et, comment dire ? C’était un rêve ! Si un jour on m’avait dit que je travaillerais avec ces personnes-là, jamais je l’aurai cru. Ce sont des souvenirs à jamais gravés dans ma mémoire. Il y a eu deux phases dans la réalisation de ce clip. La phase « playback » qu’on a tourné courant juillet puis la phase « histoire » à laquelle je n’ai pas assisté qui a été tourné fin août. Ensuite, Jeff et l’équipe de Coming Soon Agency m’ont envoyé les premiers jets puis la version finale et comme un enfant j’ai lâché ma larme ! C’était une expérience incroyable, je remercie Jeff Loch encore une fois du fond du cœur pour son professionnalisme et sa gentillesse, c’était juste top ! Merci !

La notoriété doit certainement vous changer la vie, comment s’organise-t-elle et comment la gérez-vous ?

La notoriété ? Quelle notoriété ? Je ne passe pas en télé, ni même en radio, je n’ai aucune notoriété, aucune popularité, aucun fan. J’ai des amis, une famille, tout simplement, ce sont mes potes, ils aiment ce que je fais et ce que je suis, je pense. Je n’ai aucune prétention à avoir des fans. Ce sont mes amis, ils font parti intégrante de ma vie. On avance ensemble, sans eux je ne suis rien, je n’existe pas. Je leur dois tout, ce sont des personnes incroyables. Ils font des centaines de kilomètres pour me voir, m’offrent des cadeaux, m’envoient des tas de messages tous aussi touchant les uns que les autres, ils sont là au quotidien, je les aime du fond de mon cœur. Le jour où ils ne sont plus là, tout s’arrête. J’aimerais les remercier encore une fois du fond de ma Dordogne, merci de me soutenir. J’espère être à la hauteur de vos attentes.

« Je me demande si je fais bien de me battre tous les jours pour exister… »

À ce propos qu’auriez-vous envie de dire à tous ceux qui n’ont pas cru en vous et qui vous voient aujourd’hui ?

Je n’aurais rien à leur dire car je n’ai aucune haine ou rancœur envers qui que ce soit. J’ai toujours dit que même si je percerai jamais, je donnerai tout pour vivre mon rêve c’est à dire faire de la musique et partager des moments incroyables et c’est ce que je fais et je suis heureux. C’est pas rose tous les jours mais je vis ma vie, je me voile pas la face à faire quelque chose que je n’aime pas, je galère mais je suis content de galérer. Ah si je sais ce que je pourrais leur dire ! À toi qui n’as jamais cru en moi, à toi qui m’a critiqué par lâcheté et à toi qui m’a toujours dit que tout ça était impossible sache juste que « Je Suis Là ».

À contrario, qu’auriez-vous envie de dire à tous ceux qui vous suivent et qui vous soutiennent ?

Un grand M E R C I ! Comme je l’ai dit un peu plus haut, merci d’être là au quotidien, merci de me soutenir, merci de m’envoyer tout votre amour, merci, merci et encore merci ! Sachez que ce n’est que le début et que j’aurais bientôt besoin plus que jamais de vous, de toi derrière ton écran qui lit cette interview bien sympa (rire) ! Ne quittez pas le navire, l’aventure ne fait que commencer, ensemble tout est possible !

Si l’on devait parler de votre carrière, quels en seraient le moment le plus important, le plus fort, le plus drôle ou encore le petit moment de solitude ?

Le moment le plus important serait ma scène à Paris sans aucun doute ! C’était un rêve de gamin, de jouer dans une salle parisienne, moi qui vient de la campagne ! C’était mon Olympia à moi (rire) ! Le plus drôle serait lors du tournage du clip de « Je Suis Là », on a énormément rit, on a même adopté une taupe sur le tournage de nuit, c’était un grand moment d’anthologie (rire) ! Mon petit moment de solitude ? Il y en a tous les jours malheureusement, je me remets sans arrêt en question, sans arrêt ! Je me demande si je fais bien de me battre tous les jours pour exister, si je peux réussir un jour, si je me voile pas la face etc.. Mon plus gros moment de solitude c’est mon casting à Nouvelle Star, je n’avais pas dormi de la nuit, je suis arrivé devant les portes à 7 h 30, j’ai fait la queue jusque 15 h, je suis passé 5 min, j’ai pris une veste et je suis parti comme si de rien était. On m’a dit que je savais pas jouer de la guitare et que je devais impérativement prendre de cours de chant. À vrai dire, ça m’a fait mal, beaucoup de mal. Je suis sorti, noyé dans la masse et, pendant plusieurs semaines je me suis dit « Lucas, des professionnels t’ont dit que c’était pas top, rends toi à l’évidence, t’es surement pas fait pour ça.. ». Cette période a été très compliquée pour moi.

aficia possède une machine à contrôler le temps et se projette en 2025 comment vous retrouverais-t-elle ?

Oh ce serait génial ça ! Je rêverai de faire l’Olympia et travailler avec Calogero mais ce ne sont que des rêves, je le sais bien ! Mais bon qui ne tente rien n’a rien après tout !

aficia a les moyens et vous offre la salle de vos rêves, ce serait….. ?

L’OLYMPIA sans hésiter ! C’est mon rêve de voir mon nom en rouge sur la devanture, mon rêve !

Vous devez vous retrouvez sur une île déserte en ne pouvant emporter qu’une seule chose, sur quoi se porterait votre choix ?

MA GUITARE sans hésiter également ! Je mangerais des bananes et des noix de coco (rire) !

Les interviews se suivent et très souvent elles se ressemblent… Nous aimerions savoir s’il y a une question qu’un journaliste ne t’as jamais posé et si oui nous aimerions que tu y réponde !

Euh .. On ne m’a jamais demandé si j’aimais le steak ? Et oui j’aime le steak (rire) ! Non plus sérieusement, on ne m’a jamais demandé si je regrettais mon choix de faire de la musique et, je pensais qu’on me le demanderait un jour mais non ! Ma réponse est simple, non je ne regrette pas, j’irais même plus loin le jour où j’ai pris la décision d’arrêter mes études, j’ai pris la décision de ma vie.

aficia est très curieux et nous aimons avoir le truc en plus qui fait craquer nos lecteurs… Quels sont tes projets à venir et aurais-tu par hasard une petite exclu à nous glisser ?

Pour le moment on assure la promotion du single « Je Suis Là ». En ce moment j’écris, je compose, je réfléchis beaucoup à la suite du projet. Je suis un peu perdu à vrai dire, j’ai besoin de temps et j’ai besoin de prendre du recul pour revenir plus fort. Si je peux vous souffler une exclu, je dirais que je pense à un EP, à suivre…

La Playlist de Lucss

Comme toujours on demande à nos invités de nous faire une petite playlist… quels seraient pour vous les cinq titres qui vous viennent à l’esprit ou dont vous ne pourriez vous passer ?

En ce moment je dirais ça:

Lucss, le portrait chinois…

Si vous étiez un sentiment, une émotion : La joie

« Si j’étais un film ? Total Recall ! »

Si vous étiez une saison : L’automne

Si vous étiez un aliment : Les frites

Si vous étiez un film : Total Recall – Arnold Schwarzenegger

Si vous étiez un album musical : Calogero – Les feux d’artifices

Si vous étiez votre artiste préféré : Calogero

Si vous étiez un rôle au cinéma : Jacouille dans Les Visiteurs

Si vous étiez une chanson : La Marseillaise

Si vous étiez un projet : Monter mon propre studio d’enregistrement

Si vous étiez un rêve : Le mien, faire L’Olympia

Voilà, c’est déjà la fin de notre interview, mais comme toujours chez aficia c’est l’artiste qui a le mot de la fin ? C’est donc à toi tu as carte blanche pour t’adresser à ton public, à nos lecteurs…

Merci à toute la rédaction d’aficia de m’avoir accordé cette belle interview, j’ai pas l’habitude de répondre à des journalistes moi (rire) ! Je me répète encore une fois mais je sors de ma campagne ! J’aimerais une nouvelle fois remercier tous mes potes qui me suivent car ce sont mes potes, ma famille, merci à vous ! Je vous promets qu’on va rien lâcher, on va se battre tous ensemble, on avance ensemble ! N’oubliez jamais, croyez en vous, personne le fera à votre place !