Calogero lève le voile sur « La vraie vie », un titre inédit qui apparaît sur la réédition de son nouvel album Liberté chérie aujourd’hui disponible. C’est en écoute sur aficia !
Fin d’année chargée pour Calogero ! Le chanteur apparaît à la fois sur La même tribu d’Eddy Mitchell et sur la compilation hommage On a tous quelque chose de Johnny publiés ce mois-ci, alors qu’il avait précédemment travaillé avec Julien Clerc à la réalisation de son nouveau cru À nos amours dévoilé en octobre. Il poursuit en parallèle la promotion de Liberté chérie, son septième effort et premier depuis Les feux d’artifice (2014), lequel a fait une entrée remarquée dans les charts en affichant des ventes impressionnantes qui lui ont permis de signer l’un des meilleurs démarrages de l’année.
Une réédition de Liberté chérie
Confectionné aux studios Abbey Road de Londres avec une équipe resserrée formée avec son frère Gioacchino, sa compagne Marie Bastide, Florent Marchet et Paul Ecole, lequel avait déjà mis la main à la pâte sur le tube « Le portrait », Liberté chérie s’approche aujourd’hui du seuil des 200.000 ventes. Et sa carrière est loin d’être terminée !
Si « Fondamental » a pris le relais en radio, après le succès du single « Je joue de la musique », d’autres morceaux ont le potentiel pour devenir des tubes. C’est le cas de « 1983 » ou « On se sait par cœur », lequel se transforme en duo avec Clara Luciani (Monstre d’amour) sur la réédition publiée ce jour.
« La réalité, c’est instantané »
Alors qu’il se prépare à donner le coup d’envoi d’une tournée des Zénith en 2018, Calogero vient effectivement de lâcher une version allongée de Liberté chérie, agrémentée de six pistes bonus. En plus du duo, la nouvelle mouture inclut un remix de « Je joue de la musique », des enregistrements live aux Studio Abbey Road de Londres de plusieurs titres dont « Julie » ou « C’est dit » , un acoustique de « Fondamental » et l’inédit « La vraie vie ».
À l’instar de Céline Dion qui s’adressait à son fils aîné dans « Les yeux au ciel » et Soprano avec « Mon précieux », Calogero se plaint de vivre dans une société hyper-connectée, regrettant que chacun ne sache plus vivre avec ceux qui les entourent. « La réalité / C’est instantané / Si connectés nous n’avons rien gardé / De tous les liens qui nous tiennent attachés » chante-t-il sur le premier couplet, rappelant sur le refrain le rôle de l’amour. Ce qui retient l’attention sur ce titre est surtout la partie instrumentale avec ses chœurs omniprésents.
Écoutez « La vraie vie » de Calogero :
