Thierry Amiel marque son retour dans les bacs avec ‘ARTeFACT’

Thierry Amiel est de retour aujourd’hui dans les bacs avec l’album ARTeFACT. Un opus à découvrir et à écouter avec aficia.

Souvenez-vous… C’est en 2003 que le public à le loisir de découvrir la voix de Thierry Amiel. En effet, cette année là il est finaliste de la première édition de ‘Nouvelle Star’.

La suite donne le vertige avec le titre “Les mots bleus” qu’il emprunte à la discographie de Christophe. Résultat : un Disque d’Argent à accrocher au mur. Viendra ensuite l’album Paradoxe, certifié Double Disque d’Or, puis un album éponyme en 2006.

2010 sera l’année du troisième opus avec Où vont les histoire ? avant de rejoindre la comédie musicale de Pascal Obispo, ‘Adam et Eve : la seconde chance’, Thierry Amiel y tenant le rôle phare.

Thierry Amiel en électro-pop

L’heure du quatrième album sonne l’heure d’une émancipation artistique pour Thierry Amiel. ARTeFACT s’affiche d’entré de jeu, avec “Détends-toi”, dans l’air du temps. Rien de très surprenant au regard des crédits de l’album. En effet, pour construire cet opus où l’artiste est auteur et compositeur, il fait équipe avec Skydancers (Amir, Timbaland, X Ambassadors, Broken Back, Loïc Nottet, Vianney…) et de Manu Larrouy (Jenifer, Fréro Delavega…).

Le tout est donc un album percutant dans la forme, s’orientant clairement sur une pop électro efficace. Le tout est parfaitement habillé par la voix de Thierry Amiel qui à l’avantage de ne rien avoir perdue de sa superbe au fil des années.

Si c’est parfois un peu trop facile comme avec “Dans la musique”, Thierry Amiel fait force de belles propositions comme avec “Diktats”, “Fantôme”, le magnifique “La nuit tombe” ou encore “Tes silences”. En clair et en bref ? Thierry Amiel ne signe pas l’album de l’année, mais il signe un très beau retour. Il capte l’énergie actuelle, joue sur la dualité et brise les codes d’un personnage qui apparaissait parfois trop lisse dans le passé. Un bon cru pour un beau retour.

Découvrez ARTeFACT, le nouvel album de Thierry Amiel :