Alicia Keys dévoile cinq versions de son nouveau single « In Common », extrait de son sixième opus attendu plus tard dans l’année. Écoutez-les sur aficia !
Quoi de mieux qu’une série de remixes pour que le nouveau single d’Alicia Keys s’invite dans les clubs ! La chanteuse américaine a rencontré différents producteurs et DJ pour leur demander de revisiter le titre « In Common » et lui insuffler l’énergie nécessaire pour faire danser les foules cet été. Mais soyons réalistes, ces versions alternatives, aussi réussies soient-elles, ont très peu de chances de dépasser un cercle d’initiés.
D’autant que la diva n’a pas eu recours à des artistes très populaires pour mener à bien ce projet. Ce sont effectivement Black Coffee, Kenny Dope, Lil Silva et Xpect qui ont emmené le morceau dans un registre house/deep-house, sans pour autant reléguer au second plan la mélodie ni la voix d’Alicia Keys. Notre préférence se porte sur le remix proposé par Xpect, certes répétitif, mais moins éloigné de la mouture originale. Le projet adopte la forme d’un EP cinq titres baptisé RMX, disponible depuis quelques heures sur les principales plateformes de téléchargement et de streaming.
Écoutez un extrait du remix « In Common » réalisé par Xpect :
« In Common » est extrait du nouvel album d’Alicia Keys, le sixième et premier depuis Girl on Fire (2012), et dont la sortie semble se profiler pour la rentrée. Au sujet de ce disque très attendu, l’artiste a révélé qu’il marquerait un tournant dans sa carrière, tant musicalement que sur le plan des textes. « Mes paroles sont très agressives. Je m’insurge contre tous les préjugés. Ceux sur l’homosexualité, le divorce, la couleur de peau : je n’évite aucun sujet » avait-elle affirmé il y a quelque temps dans la presse américaine.
En témoigne la ballade « Hallelujah », déjà défendue en live sur différents plateaux de télévision aux États-Unis et en Italie, laquelle sert de bande originale au court-métrage « Let Me In » coproduit par Alicia Keys. Dévoilée il y a quelques jours, la vidéo réalisée sous la direction de Jonathan Olinger met en lumière la gestion catastrophique de la crise migratoire et invite tout un chacun à se projeter dans la vie des milliers de migrants contraints de quitter leur pays.