Découvrez Laurie Darmon en interview : la musique, l’écriture, la scène… Une artiste complète !

C’est à l’occasion de la sortie de son 2ème EP qu’aficia a eu l’occasion de rencontrer l’exceptionnelle Laurie Darmon, une jeune artiste sensible, touchante et originale à la fois. Plein de projets pour cette année 2016 : entre compositions, écriture, scène et enregistrements, Mademoiselle Darmon est sans nul doute la révélation de notre année bissextile !

C’est avec son épatant « Rupture » que Laurie Darmon a gagné le cœur de son public et des programmateurs radio. Puis, elle a transformé l’essai avec plusieurs autres titres tout aussi bien inspirés, écrits et composés. Elle nous dévoile un peu plus de son talent avec son deuxième mini-album Mesure seconde et nous révèle qui se cache derrière ces grands yeux bleus à travers une interview sincère et facétieuse….

Laurie Darmon, l’interview…

Bonjour Laurie, comment vas-tu ?

Bonjour, ça va très bien merci et toi ?

Très bien, merci ! Le public t’a découverte il y a quelques mois maintenant grâce à ton premier mini-album Mesure première . Tu peux nous en dire quelques mots, nous parler de son histoire ?

C’est un mini-album de 5 titres que j’ai sélectionné parmi tous ceux que j’avais composé, et je me suis dit qu’il était temps de les travailler de façon un peu plus sérieuse et de manière plus approfondie pour avoir comme une carte de visite, pour ensuite tenter d’entrer dans le monde de la musique.

Parce que ce sont des titres qui existaient depuis un petit moment ?

Voilà, c’est ça. J’ai composé certains titres à l’âge de 16 ans, de 17 ans, d’autres à 21 ans… (ndlr : aujourd’hui, Laurie a 25 ans). Ils ont tous des histoires différentes, mais je ne me suis jamais dit : « Je vais faire un disque, donc je vais composer des titres ». C’est venu bien avant, et j’ai décidé de les porter plus loin.

Le 4 mars, tu reviens avec un deuxième EP. Comment est-ce que tu le situes ?

Je le situe comme un vrai prolongement du premier, c’est-à-dire que 3 titres seront communs aux deux albums, et 2 nouveaux titres vont venir s’ajouter sur le dernier.

Il y a évidemment « Rupture » parmi les anciens titres. Quels sont les deux autres ?

Ce sont « Malsain » et « Ta voix ». Et les deux nouveaux qui vont les accompagner, c’est pour l’album physique, mais la tracklist de l’album digital sera un peu différente : il y aura toujours « Rupture », les 2 inédits puis les versions acoustiques  de « Malsain » et de « Ta voix ».

Super ! Et sur l’histoire des deux dernières chansons, tu peux nous en dire un peu plus ?

Il s’agit de « Bonjour tristesse » qui raconte la rencontre d’une jeune fille avec… la lucidité! Elle parle du passage à l’âge adulte, de la désillusion, de la nostalgie de l’enfance, avec un clin d’œil au roman de Françoise Sagan du même nom, que je conseille à la lecture !

Est-ce que cette jeune fille à quelque chose à voir avec Laurie ?

Un peu beaucoup, effectivement ! (Rires) En fait, quand j’écris, je m’inspire beaucoup de ce que je vis, même si évidemment, j’y ajoute une part de romance, une empreinte artistique ajoutée. Je dirais que je suis mon propre cobaye ! (Rires) Je m’envisage un peu comme ça ! Pour le deuxième titre, qui s’appelle « Juillet Formiguères », c’est carrément un souvenir que j’ai vécu. Formiguères est une ville dans les Pyrénées dans laquelle j’allais très souvent en colonie de vacances, au mois de juillet. D’abord en tant que colonne, et ensuite en tant qu’animatrice. J’y raconte mes souvenirs. Cette chanson peut parler à tout le monde si on a déjà parti en groupe en vacances, ou encore mieux en colonie de vacances… Ça parle du partage, dans un cadre qui est celui dans lequel on peut faire les 400 coups, etc.

« L’album est prêt, j’espère que ça sortira avant la fin 2016. »

Comme d’habitude, tu as écrit et composé ces chansons. Peux-tu nous parler de ton processus de création ?

Il est très différent aujourd’hui de ce qu’il était au tout début. Il y a eu une évolution. Quand j’ai composé mes premières chansons, je n’avais pas le temps dont je dispose aujourd’hui pour créer. Ça sortait de manière un peu violente, je ne me disais pas : « Bon, maintenant je vais créer ! » (d’ailleurs, aujourd’hui, je ne me le dis pas non plus…), mais c’était quelque chose de « mal-venu », qui sortait d’un coup. D’abord la musique, puis les paroles. Mais c’était sur des cours, quand j’étais en classe, ou pendant que je faisais mes devoirs, sur mon cahier de textes. C’était plus un processus de création rapide, on va dire. Ça sortait d’une traite, parce que je n’avais pas le temps, ce qui déclenchait des besoins… Aujourd’hui, c’est différent. J’ai plus de temps et ça me fait très peur… (Rires) C’est difficile à raconter. C’est un processus qui n’est pas figé. C’est toujours d’une manière un peu étrange que ça sort. Ce n’est pas parce que j’ai plus le temps que la créativité est plus abondante. Je pense que le temps est quelque chose qui fait peur à toutes les personnes qui créent. Personnellement, la contrainte m’aide à créer, elle me donne de la matière. La frustration permet de ressentir des choses fortes. Évidemment, aujourd’hui, je ne suis pas derrière mon bureau à attendre que l’inspiration vienne ! (Rires)

Mais tu composes et tu écris toujours, rassure-nous ?

Oui, évidemment, mais c’est encore en transition dans la mesure où, maintenant, je vais m’attarder beaucoup plus sur la matière musicale ou sur la matière écrite. C’est-à-dire que je vais partir dans des écrits puis, à un moment donné, je vais en ressortir quelques phrases, quelques mots qui peuvent donner une chanson, mais je me lance plus dans des projets en fait, avec un tri à faire. C’est pareil pour la matière musicale. J’aime beaucoup arranger, faire des arrangements. Je travaille sur ordinateur avec mon clavier, ça m’inspire des compos, des mélodies…

Tu travailles sur l’album complet ? Ou peut-être est-il déjà fini ?

L’album complet est prêt. En tout cas, les titres sont déjà écrits et prêts, mais je me donne la possibilité d’en inclure d’autres et, du coup, d’en exclure certains pour qu’il y ait de la place pour tout le monde, car je compose un peu en ce moment. Mais c’est prêt, on a déjà travaillé dessus et j’espère que ça sortira avant la fin 2016 ! J’ai vraiment hâte !

Est-ce que tu aimerais que quelqu’un écrive ou compose pour toi ?

Je pense que je n’en suis pas encore là, mais c’est une expérience que j’ai envie de vivre. Ça doit être une expérience riche de partages, de mises en danger aussi, parce qu’on va sur quelque chose qu’on ne connaît pas, et comme moi j’ai toujours eu l’habitude de chanter mes chansons et de mettre ma voix sur mes propres mots, des choses qui sortent de moi, ce serait une vraie terre inconnue. C’est quelque chose qui me plairait énormément, de vivre ça comme une aventure, mais peut-être pas pour l’instant…

Tu as toi-même écrit pour un grand monsieur de la chanson française. Tu peux nous décrire ce qu’il se passe quand on reçoit un SMS de Christophe ?

J’ai jeté mon portable ! (Rires) J’étais en train de prendre le goûter (parce que j’aime bien encore prendre le goûter….), j’ai reçu ce SMS de façon assez improbable… J’étais avec un ami, je lui ai dit : « J’y crois pas », et j’ai balancé mon portable… J’ai mis deux heures avant d’y croire ! J’ai demandé à ma manageuse et à mon label de vérifier s’il s’agissait bien du numéro de Christophe… Et c’était bien le sien! Je lui ai donc répondu et c’est parti comme ça… Ça a été un échange de textos, puis une rencontre. Je suis allée chez lui. Il a d’ailleurs un très beau studio. C’était hyper émouvant de pouvoir écouter en avant-première les maquettes de son album qui n’était pas encore terminé et puis de discuter avec lui. C’était un moment privilégié, un peu suspendu, que je n’aurais jamais pensé vivre un jour dans ma vie.

Oui, car tu as une histoire un peu particulière avec cet artiste…

Oui, c’est l’idole de mon père à l’origine et du coup, pour m’endormir, quand j’étais petite, j’écoutais à chaque fois la face A de ma cassette, avec les chansons de mon père, et la face B, avec les chansons de Christophe.

Donc il y a un côté très sentimental avec ses chansons…

Oui, voilà. Puis, au-delà qu’il soit l’idole de mon père, personnellement, j’adore aussi ses chansons. Ce n’est même pas par défaut, c’est que, vraiment, j’adore. Je pense y avoir puisé mon inspiration, et maintenant la boucle est bouclée. Lui m’a dit avoir trouvé dans ma musique quelque chose qu’il voulait dans la sienne, comme moi j’ai puisé ma musique dans la sienne.

Il t’a dit comment il t’avait découverte ?

Oui, en regardant l’émission « Du côté de chez Dave » dans laquelle j’étais invitée.

Comment est-ce que tu appréhendes la scène ?

Comme un long tunnel qui débouche vers un accomplissement. Pour moi, la scène, c’est le lieu où j’ai le plus de choses à ressentir, à vivre et, j’espère, à donner.

Et si on te croise 5 minutes avant de monter sur scène, on te trouve dans quel état ?

Ça dépend… Y’a des jours où je vais être pliée en deux par terre, et d’autres où ça va… Ça varie selon mon état du moment, le contexte… C’est indicible…. Mais, avec le temps et l’expérience, ça va de mieux en mieux… Y’a des scènes où les techniciens me disent : « Tu as l’air très détendue, c’est dingue ! » et j’entre en scène de manière assez zen, et d’autres où (surtout pendant les balances) j’ai mal au ventre de stress. Et puis tout se calme avant de rentrer sur scène, je deviens euphorique…

Et du coup, pour ta dernière scène à Lyon avec Europe 1, tu stressais ou non ?

Non, je n’étais pas trop stressée, ça allait. Même si j’appréhendais l’exercice…

Oui, car c’était un plateau partagé avec plusieurs artistes…

Voilà, c’est ça… C’était un peu nouveau pour moi dans la mesure où il y avait d’autres artistes qui, eux,  étaient confirmés, en tout cas, connus du public qui venait ce soir-là (ndlr : Zazie, Emmanuel Moire, Joyce Jonathan, Salvatore Adamo, Josef Salvat…), et moi je sais que je n’étais pas connue du tout. J’étais un peu « la découverte » qui pouvait retarder les stars que les gens attendaient… Mais en fait, je ne le voyais pas du tout sous cet angle-là…

Le public a très bien reçu ta musique, non ?

Le public était hyper attentif. Ça m’a vraiment porté. C’est souvent un dialogue avec le public, et la prestation qui en ressort est toujours influencée par ça…

Tu aimes le théâtre, et notamment les textes. Je crois que tu écris toi-même ? Quel genre de pièce ?

J’ai écrit une pièce quand j’avais 20 ans qui raconte l’histoire d’une jeune fille qui, suite à un chagrin d’amour, reconsidère toute la vision qu’elle a de la vie. Au fur et à mesure de ses réflexions, elle va rencontrer et discuter avec une femme beaucoup plus âgée qui, elle, a déjà beaucoup vécu. C’est un texte qui est également sorti de manière assez violente et spontanée et que je suis en train de monter actuellement avec une comédienne.

Donc prochainement sur Paris ?

Oui, même si c’est un peu long car là, pour le coup, j’ai moins les clefs que dans la musique. C’est vraiment nouveau, mais c’est ce qui me plaît aussi.

« La reprise acoustique de « Malsain » qui doit arriver aux environs du 10 mars… »

Tu serais investie dans la mise en scène ou dans le jeu ?

Oui, dans la mise en scène, mais j’essaye de m’entourer de professionnels. J’aimerais aussi jouer avec une autre comédienne qui jouerait la personne âgée.

Est-ce que tu te rappelles de ton premier concert ? C’était comment ?

Le tout premier, j’étais en Terminale. C’était sur les grands boulevards dans un café-théâtre qui s’appelle le Pranzo qui, d’ailleurs aujourd’hui, est fermé. Je jouais tous les samedis soirs pendant quelques mois, pendant 30 minutes au piano et à la guitare à cette époque. Et ensuite, il y avait 30 minutes qui étaient assurées par Kev Adams, qui était un copain du lycée. Il présentait ses sketchs. On était tous les deux des débutants et amateurs de scène. Lui a continué, moi je suis retournée à mes études, parce que je passais mon Bac à ce moment-là, et parce que j’étais beaucoup plus scolaire et rangée, et aussi moins déterminée que lui. Il a eu la carrière que l’on connaît et qui est formidable.

Tu chantais quoi à cette époque ? Tu interprétais déjà tes propres chansons ?

Oui, je chantais par exemple « Rupture », « Malsain »… Il y avait aussi d’autres titres, mais je chantais mes compos. Je n’ai jamais vraiment fait de reprises sur scène. J’en faisais quelques-unes de temps en temps pour ponctuer le spectacle, mais ce n’était pas le but premier… Sauf quand j’étais petite et que je faisais des spectacles dans des clubs de vacances ! (Rires)

Et à la télé non ?

Oui, aussi, pour L’école des fans  ! (Rires)

Des dates pour 2016 ?

Pour l’instant, c’est encore assez flou parce que tout est en train de se fixer. Il y aura le 9 mars un show-case à la Fnac Montparnasse, à 18h00, et ensuite je pense continuer les 1ères parties.

Des pistes déjà ?

Pour l’instant, rien de confirmé, mais dès que je sais, je vous tiens au courant ! Et puis je vais commencer à faire quelques scènes à moi. Je jouerai aussi au festival « Paroles et Musiques » à Saint-Etienne le 20 mai.

Tu travailles beaucoup, mais quand tu te poses, qu’est-ce que tu aimes faire ?

J’aime beaucoup regarder des films, des spectacles de danse. Me nourrir de choses culturelles, de projets, de créations culturelles. C’est le meilleur loisir que je puisse m’accorder. Et puis comme je suis hyperactive, j’aime bien bouger, faire du sport, du vélo…

De nouveaux clips en préparation ?

Il y a une vidéo de la reprise acoustique de « Malsain » qui doit arriver aux environs du 10 mars…

Dans le même style que celle de « Ta voix » ?

Voilà, exactement.

On t’offre un duo avec un artiste français, tu choisis qui ?

Pourquoi pas Christophe !

Et un artiste international ?

Peut-être un rappeur américain, comme Eminem. J’adore la chanson « Stan » d’Eminem et Dido. Si je pouvais faire quelque chose du genre avec lui, je serais très contente…(Rires).

Tu voudrais que ta carrière ressemble à celle de … ?

J’aimerais bien qu’elle ressemble à celle de Véronique Sanson. J’ai toujours trouvé qu’elle dégageait une certaine liberté quand elle joue du piano. Et je trouve qu’elle a encore sa place aujourd’hui et c’est vraiment dingue ! Ça me parle vraiment. Sinon, je trouve que Vanessa Paradis a aussi une jolie carrière. Elle a réussi à chaque fois à rebondir et à revenir avec une certaine fraîcheur. Évidemment, j’aimerais vraiment pouvoir faire une carrière, durer, et faire ça toute ma vie. Je n’envisage pas de faire autre chose que de créer. Ça ne sera peut-être pas toujours que de la musique, mais ça sera en tout cas de la création et de l’écriture…

Laurie Darmon, sa PlayList !

Entre le tournage de clips acoustiques, la sortie de son EP, la préparation de l’album et ses projets théâtraux, Laurie écoute toujours beaucoup de musique et enregistre ses coups de cœur sur les plateformes de téléchargement : on peut y trouver « Reaper » de Sia, Camille avec le morceau « She was », « Better Have my Money » de Rihanna,  le titre « Grands Soirs » d’Alex Beaupain et la cover de James Bay : « If I Ain’t Got You » d’Alicia Keys.

Découvrez la Playlist exclusive de Laurie Darmon : 

Laurie Darmon : sa playlist exclusive !

Laurie Darmon : l’interview décalée…

Le Fact Checking – Le vérificateur de fait

Laurie, on a pu lire que tu étais sage et studieuse :

As-tu déjà volé ? Non, je n’ai jamais été voleuse…

Triché pour des examens ? Jamais, j’étais plutôt celle à qui on prenait le brouillon, qui circulait dans toute la classe !

Fait du playback ? Nooooon, jamais !!!!

On a pu lire que tu aimais, par-dessus tout, écrire :

Ton mot préféré ? C’est dur ça ! Mon mot préféré… Peut-être le mot « insouciance »…

Le mot que tu détestes ? « Putois » (Rires).

Ta devise dans la vie ? « Toute expérience est une bonne expérience » ou « Il n’y a pas de mauvaise expérience ».

La citation que tu préfères ? J’en aime beaucoup trop pour en choisir une… ou alors le fameux « Carpe Diem »…

On a pu entendre que la musique était pour toi comme une thérapie :

Es-tu maniaque ? Oui, je le suis… (Rires)

Schyzo ? Grâce à la musique, non… Mais  je pense que j’aurais pu l’être…. (Rires)

Mytho ? Non.

Maso ? Oui ! (Rires)

Parano ? Je pense qu’on l’est tous un peu… Mais grâce à la musique, j’atténue ce côté qui peut éventuellement surgir parfois…

Si tu n’étais pas toi, tu serais… ? Très dur ! Je ne sais pas… Déjà que j’ai du mal à cerner qui je suis ! (Rires)

Ton idée du bonheur ? La liberté, même si la contrainte autorise la liberté…

As-tu un objet fétiche ? Plus aujourd’hui, mais j’ai longtemps eu un doudou…

Longtemps ? Jusqu’à 20 ans… C’était très grave !!! (Rires)

On a pu lire que tu étais « fleur bleue » :

La qualité que tu préfères chez un homme ? La détermination !

Le premier baiser ? 19 ans ½

Le premier chagrin d’amour ? 20 ans

Quel surnom détestes-tu le plus ? Il n’y a pas de surnom que je déteste vraiment… On ne me surnomme pas vraiment… Ou avec des classiques comme « Laulau » ou « Laulaute »…

On a pu lire que tu avais beaucoup d’imagination :

Ton super héros préféré ? Ce n’est pas faire preuve d’une grande imagination, mais j’aime beaucoup Superman. Il m’a toujours un peu fasciné. Même visuellement. C’est-à-dire que, quand je regardais un épisode, même sans mettre le son, ça me plaisait. Alors que Spiderman, Batman, tout ça, ça m’intriguait moins…

Ton héros dans la vie ? Mon frère, qui a 2 ans de moins que moi.

Si tu avais un super-pouvoir ? Je ne sais pas… J’aime bien tout ce qui est un peu compliqué… Et les super-pouvoirs, ça permet d’arriver directement à ton but, et ça fait perdre le goût du résultat je trouve…

Un dernier mot pour les lecteurs d’aficia ?

Ce qui me vient en premier, c’est un grand merci, parce que je sais que grâce à aficia, ils me suivent déjà depuis des semaines et des mois, et ça me touche énormément. Un grand merci pour leur attention !