Benjamin Biolay mise sur « Palmermo Queens » pour défendre les couleurs de son nouvel album en radio. Ecoutez ce duo avec Sofia Wilhelmi sur aficia !
Adeptes des collaborations autant inattendues que réussies, celui qui a travaillé avec Isabelle Boulay, Carla Bruni, Vanessa Paradis ou encore Catherine Deneuve, s’offre à présent un duo avec Vincent Delerm. En effet, Benjamin Biolay est passé en studio pour poser sa voix sur le titre « Les chanteurs sont tous les mêmes », nouvel extrait de du disque A présent de son compatriote, dans les bacs le mois prochain. Mais c’est pour un autre duo qu’il fait parler de lui aujourd’hui. Le titre « Palermo Queens » qu’il partage avec Sofia Wilhelmi vient d’être envoyé aux radios et fait donc office de troisième extrait de son nouvel album Palermo Hollywood, publié au mois d’avril et certifié disque d’or pour plus de 50.000 ventes. A noter que la chanteuse apparaît sur une seconde piste du disque, « Palermo Soho », et qu’un clip illustrant « Palermo Queens » avait été dévoilé plus tôt cette année. La vidéo intègre un triptyque mettant également en perspective deux autres morceaux issus de l’album : « La débandade » et « Miss Miss », qui avait par ailleurs fait l’objet d’un remix signé The Shoes.
Rien de surprenant donc à ce que « Palermo Queens » soit à son tour exploité. D’autant plus qu’il s’agit d’un des titres les plus réussis du projet, notamment pour sa mélodie répétitive et forcément entêtante, et le chant spectral de la comédienne argentine.
Découvrez le nouveau single « Palermo Quens » de Benjamin Biolay et Sofia Wilhelmi :
Septième album original de Benjamin Biolay, ce Palermo Hollywood se distingue dans sa discographie pour son caractère lumineux et ses influences latines. L’interprète de « La superbe » a commencé son écriture à Paris et l’a achevée en Argentine, dans le fameux quartier Palermo Hollywood de Buenos Aires, y voyant la confrontation entre « deux villes et deux hémisphères », « pour mieux nous raconter en seize nouveaux titres une audio pelicula où se croisent Ennio Morricone, ballade française, néo cumbia, lyrisme et grand orchestre, percussions latines, rock nacional et bandonéon électrique ». Il continuera de le défendre sur scène jusqu’en 2017, dans le cadre d’une tournée qui fait escale à Paris cette semaine, Salle Pleyel.